Dans ce nouvel article je m’interroge sur les choix que peuvent faire les assureurs qui sont en pleine transformation digitale. Que font-ils de vos données? Est-ce un sujet qui vous préoccupe? Est-ce que les thématiques invalidation du #privacyshield ou #rgpd sont des éléments qui les ont intéressées? Comme vous pourrez le découvrir, sans certitudes, il ya des faisceaux concordants d’éléments qui permettent d’en douter.
Dans ce cas précis nous nous sommes intéressés à la MACIF suite à leurs différentes déclarations sur le sujet, mais cette question reste un angle mort pour l’ensemble des assurances…
Cela vous préoccupe-t-il?
Devant la transformation numérique de nombreux secteurs d’activité, ce genre de question est amené à voir de plus en plus souvent le jour. Et la réponse est de plus en plus fréquemment : dans le cloud. S’il est indéniable que pour nombre d’opérateurs de l’économie le Cloud semble la solution à beaucoup de problématique, et souvent permet des gains d’efficacité concrets, ces choix interrogent.
Le problème, c’est que la plupart des grands groupes industriels ou de services, réfléchissent en termes de performances économiques et financières. Les systèmes d’information ne sont vus que comme des outils et souvent les risques juridiques liés à leur choix et leur implémentation sont sous-estimés.
Et cette remarque est d’autant plus vraie que l’entreprise française est en fait une multinationale. En effet, autour de la donnée, de son utilisation et de son stockage, il existe un certain nombre de règles qui n’ont fait que se durcir au fil des ans notamment la Loi informatique et Liberté qui s’est renforcée dernièrement avec le Règlement pour la Protection des Données (RGPD) une directive européenne.