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Le laboratoire de recherche universitaire Citizen Lab, qui documente depuis des années l’utilisation de logiciels espion par des services de renseignement à l’encontre de défenseurs des droits humains et de journalistes, notamment, a découvert de nouvelles victimes mexicaines de Pegasus entre 2019 et 2021.
Alors que « l’actuel président du Mexique, Andrés Manuel López Obrador, a assuré au public que le gouvernement n’utilisait plus le logiciel espion et qu’il n’y aurait plus d’abus » : « Parmi les victimes figurent deux journalistes qui traitent de questions liées à la corruption officielle et un éminent défenseur des droits humains. »
Citizen Lab rappelle à ce titre qu’il avait déjà publié huit rapports, en 2017, révélant que « des journalistes d’investigation et des avocats de familles de victimes de cartels, des groupes de lutte contre la corruption, des législateurs de premier plan, des enquêteurs internationaux qui examinent les disparitions forcées, et même le conjoint d’un journaliste tué par un cartel », avaient de même été ciblés par le logiciel espion de la société israélienne NSO Group.
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