Avec le RGPD sont arrivées les bannières de cookies, que tout le monde déteste. Mais selon Max Schrems, président de l’association Noyb, si ces bannières de consentement sont tellement pénibles pour nous, c’est parce que beaucoup d’entre elles ont adopté un design illicite ou trompeur. Au lieu de proposer un choix binaire simple « Accepter »/« Refuser », elles imaginent des entourloupes visuelles et textuelles pour inciter l’internaute à accepter les cookies. Cela peut être un bouton « Refuser » qui est inexistant ou minuscule ou un consentement qui est coché par défaut.
Pour lutter contre ces designs trompeurs — également appelés « dark patterns » — l’association Noyb vient de démarrer un véritable pilonnage juridique. Elle a développé un système capable de scanner automatiquement un site web pour détecter les bannières trompeuses et de générer une lettre de plainte. Son objectif est de vérifier 10 000 sites d’ici un an. Si les entreprises contrevenantes ne rectifient pas leur design en l’espace de 30 jours, une plainte est déposée auprès d’une agence de protection des données personnelles.
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