rançongiciel
Les systèmes Linux et ESXi sont de plus en plus victimes d’attaques de rançongiciels. Comment protéger vos serveurs ?
Vous savez que le rançongiciel est un danger, mais comment renforcer vos défenses ? Autrement dit, qu’est-ce que vous devez protéger en premier lieu ? Les postes de travail Windows, les serveurs Active Directory et les autres produits Microsoft sont souvent les premiers candidats. Cette approche est généralement justifiée. Il convient toutefois de ne pas oublier que les cybercriminels ne cessent d’évoluer et que de nouveaux outils sont développés pour les serveurs de Linux et pour les systèmes de virtualisation. Le nombre d’attaques contre les systèmes Linux a augmenté de près de 75 % en 2022.
La motivation derrière ces attaques est évidente : l’open source et la virtualisation sont de plus en plus populaires, ce qui signifie que de plus en plus de serveurs utilisent Linux ou VMware ESXi. Ces systèmes conservent beaucoup d’informations sensibles qui, si elles sont chiffrées, peuvent instantanément paralyser les opérations d’une entreprise. Étant donné que la sécurité des systèmes Windows a toujours attiré l’attention, il s’avère que les serveurs qui ne sont pas de Windows sont une cible facile.
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