avicca
Aujourd’hui, l’Avicca donnait le coup d’envoi de son Trip d’autonomie, l’occasion de réunir les acteurs du secteur pour faire le point sur le déploiement de la fibre et le retrait du cuivre. Patick Chaize, président de l’association, ouvrait les hostilités, avec quelques réponses du ministre délégué Jean-Noël Barrot. Nous étions sur place, voici l’essentiel de ce qu’il fallait retenir de son discours.
Le sénateur commence par revenir sur le déploiement de la fibre, dont les nombreux problèmes ne sont toujours pas réglés… loin s’en faut. Plusieurs participants nous ont en effet confirmé que la situation ne s’était pas franchement améliorée en un an. Pire, cela touche désormais la desserte, nous précise Ariel Turpin, le délégué général de l’Avicca (Association des Villes et Collectivités pour les Communications électroniques et l’Audiovisuel).
En guise d’introduction, Patrick Chaize parle d’une « drôle de petite musique du FTTH pour tous qui semble de plus en plus être dissonante ; il faut en tout cas porter un casque anti-bruit et des œillères pour ne pas l’admettre ». Le président de l’Avicca explique que c’est « encore et toujours le même refrain depuis six ans sur la cacophonie des raccordements en fibre optique », problèmes qui s’étendent désormais à la desserte. Il pointe du doigt « les pratiques déplorables d’installateurs sur le terrain […] mal rémunérés », avec par exemple un sous-traitant en bout de course payé 53 euros pour un raccordement facturé 500 euros…
L'IA : opportunité ou menace ? Les DSI de la finance s'interrogent Alors que l'intelligence…
Sécurité des identités : un pilier essentiel pour la conformité au règlement DORA dans le…
La transformation numérique du secteur financier n'a pas que du bon : elle augmente aussi…
Telegram envisage de quitter la France : le chiffrement de bout en bout au cœur…
L'intelligence artificielle (IA) révolutionne le paysage de la cybersécurité, mais pas toujours dans le bon…
TISAX® et ISO 27001 sont toutes deux des normes dédiées à la sécurité de l’information. Bien qu’elles aient…
This website uses cookies.