Le Washington Post et Amnesty International ont enquêté sur l’utilisation en Inde du logiciel de NSO pour espionner des journalistes renommés. En parallèle, le gouvernement indien a mis la pression sur Apple après que l’entreprise a signalé des tentatives d’intrusion.
Le logiciel Pegasus de l’entreprise de surveillance NSO montre encore en cette fin d’année qu’il est l’un des outils les plus prisés des gouvernements qui veulent surveiller la société civile, les journalistes et les militants.
Début novembre, des journalistes indiens et des membres de l’opposition du pays ont été alertés par Apple à propos d’attaques « financées par un État » et visant leurs iPhone.
Amnesty International et le Washington Post ont enquêté et ont pu confirmer conjointement la trace de la présence de Pegasus sur les iPhone de journalistes indiens, dont Siddharth Varadarajan, le fondateur du média indien The Wire, et d’Anand Mangnale, membre du consortium international de journalistes Organized Crime and Corruption Reporting Project (OCCRP).
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