chiffrement
La police a toujours fait en sorte d’écouter les criminels, tandis que ces derniers ont toujours cherché à communiquer de manière sécurisée. Résultat, raconte the New Yorker, dans les dernières années, de nombreux réseaux de malfaiteurs se sont tournés vers des téléphones chiffrés.
Trafiquants d’armes, de drogues, d’êtres humains, blanchisseurs d’argent et tueurs à gage ont pris le tournant technologique et se sont équipés de Blackphones ou d’autres téléphones « étanches » similaires. Mal leur en a pris : certaines des sociétés qui construisent ces outils sont infiltrées, voire contrôlées par des informateurs ou des policiers.
Le New Yorker rapporte ainsi plusieurs affaires dans lesquelles les forces de l’ordre ont, par cet intermédiaire, réussi à pénétrer divers réseaux – EncroChat, qui comptait quelque soixante mille utilisateurs dans le monde, dont la moitié au Royaume-Uni, ou encore Sky ECC et sa centaine de milliers d’utilisateurs, principalement installés aux États-Unis.
Et de souligner le faux sentiment de sécurité qu’ont apporté les technologies de chiffrement à leurs utilisateurs… mais aussi les enjeux juridiques et éthiques que ces tactiques d’infiltration déployées par des polices du monde posent.
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