scrapping données
Douze entités de protection de la vie privée appellent à la protection des données personnelles face au scraping illégal de leurs informations présentes sur les réseaux sociaux.
Parmi les signataires, le Bureau du commissaire australien à l’information, le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada, celui du Royaume-Uni, et les homologues de la CNIL à Hong Kong, en Suisse, en Nouvelle-Zélande ou encore en Argentine.
Le texte vise expressément le modèle de sociétés comme Clearview AI, qui s’est faite connaître pour sa propension à siphonner toutes les informations disponibles en ligne.
Les entités tiennent notamment à souligner que « Les informations personnelles accessibles au public sont toujours soumises aux lois sur la protection des données et de la vie privée dans la plupart des juridictions. »
De fait, le scraping de masse qui embarquerait des informations personnelles « peuvent constituer des violations de données » qu’il est légitime de « signaler ».
Les signataires déclarent par ailleurs que les plateformes sur lesquelles ces informations sont stockées ont l’obligation de protéger ces éléments contre les tentatives de scraping.
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