L’Australie, qui a récemment été confronté à plusieurs fuites de données particulièrement graves, envisage d’ « augmenter considérablement les sanctions en cas d’atteintes répétées ou graves à la vie privée ».
La peine actuelle de 2,22 millions de dollars australiens (soit 1,42 millions d’euros) pourrait en effet passer à 50 millions de dollars (32 millions d’euros, soit plus que le montant maximum de 20 millions prévu par le RGPD), ou « trois fois la valeur de tout avantage obtenu grâce à l’utilisation abusive d’informations », ou « 30 % du chiffre d’affaires ajusté d’une entreprise au cours de la période pertinente » (contre 4 % du chiffre d’affaires mondial annuel d’une entreprise dans le RGPD).
« Une conduite délibérée ou irréfléchie, le type de données – par exemple, relatives à la santé – ou des antécédents d’ingérence grave dans la vie privée, ou le mépris pour la sécurité des données seraient également pris en compte », précise The Guardian.
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