Six prévenus ont été condamnés aux termes de deux jours de procès à Rouen pour leur implication dans un trafic de stupéfiants sur le darknet, rapporte Paris Normandie.
L’affaire remonte à une interception de 1,5 kg d’ecstasy aux États-Unis, en avril 2020. Le courrier semble provenir de Nantes, et le FBI contacte la gendarmerie. Les enquêteurs estiment que « plus de 60 kg de drogues de synthèse » aurait été expédiée « en France mais aussi en Australie, au Sri Lanka, aux États-Unis et dans bien d’autres pays ».
Le trafic « aurait généré des millions d’euros de chiffre d’affaires, certains prévenus ayant des comptes en bitcoins dépassant le million d’euros ».
Las : l’homme de 37 ans chargé de stocker la marchandise avait « déjà été condamné – comme d’autres prévenus – pour des infractions à la législation sur les stupéfiants » et, « peu prudent, laissé des empreintes sur certaines enveloppes ».
« Passionné de bitcoins », un jeune homme de 28 ans aurait de son côté été contacté « pour vendre des produits stupéfiants via le darknet. MDMA, ecstasy, kétamine, cocaïne, LSD, cannabis » sur le darknet.
Ces deux principaux prévenus, qui déclaraient être des « employés » du réseau, ont écopé de 5 et 6 ans de prison, « ainsi qu’à de très fortes amendes ». Quatre autres « petites mains » à des peines allant de 12 mois de prison avec sursis à trois ans de détention.
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