Le quotidien israélien The Globes révélait il y a quinze jours qu’une quarantaine d’experts travaillaient au développement de nouveaux logiciels espions et cyberoffensifs. Leur employeur, Blue Ocean Enterprises, aurait obtenu l’autorisation de les exporter dans un pays d’Asie du Sud est.
Plusieurs sources ont depuis confié à Intelligence Online que ce nouveau concurrent de NSO, Candiru ou Quadream, aurait en effet été autorisé à vendre ses outils, et les formations afférentes, au ministère singapourien de la Défense, ainsi qu’à la Suède, qui serait même devenu « le principal client de la société ».
The Globes, qui estime que des dizaines de millions de dollars ont été investis à ce jour dans Blue Ocean et ses produits, souligne que le fait d’être principalement financé par des gouvernements étrangers lui permettrait d’éviter les affres auxquels NSO et Quadream ont été confrontés, lorsque Israel a restreint la commercialisation de tels logiciels espion à une trentaine de démocraties pro-occidentales.
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