Dans un (très long) format qui se lit comme un (mauvais) polar burlesque et improbable (mais vrai), le New Yorker revient en détails, et avec moult rebondissements, sur l’histoire d’un ancien hacker d’élite de la CIA accusé d’avoir fait fuiter des gigaoctets de données à WikiLeaks, qui les feuilletonna des mois durant en 2017 sous l’intitulé « Vault 7 ».
« C’est l’une des histoires les plus folles que j’aie jamais écrites », résume sur Twitter le journaliste Patrick Radden Keefe : celle d’un informaticien libertarien brillant, mais toxique, immature et revanchard qui, après s’être embrouillé à coups de fusil à fléchettes en mousse avec un collègue de bureau, est parti en vrille, et en guerre, contre lui puis contre la Central Intelligence Agency. Et qui se bat aujourd’hui aussi contre le ministère de la Justice américain, le FBI, et l’administration pénitentiaire, rien que ça.
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