La DGSE imagine les cyberguerres du futur, de 2030 à 2060

La DGSE imagine les cyberguerres du futur, de 2030 à 2060

À quoi pourrait bien ressembler le monde numérique dans 10, 20 ou 40 ans ? Difficile à dire tant les évolutions et découvertes sont rapides. La DGSE se lance néanmoins dans un exercice d’anticipation. Sans attendre les prochaines décennies, la « guerre » se prépare aussi dans l’espace et au fond des océans.

Nous vivons dans un monde toujours plus connecté. Comme l’expliquait, à juste titre, Ursula von der Leyen (présidente de la Commission européenne) dans son discours sur l’état de l’Union en septembre dernier : « Si tout est connecté, tout peut être piraté ».

Les pirates et services de (cyber)sécurité jouent au chat et à la souris depuis des années et cela ne devrait pas se calmer à l’avenir, loin de là. S’il est impossible de savoir ce que nous réservent les prochaines décennies, la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) a tenté une extrapolation.

Lors du salon VivaTech, elle exposait en effet de grandes fresques avec une vision de ce que pourrait être le futur de l’espionnage d’ici à 2060. Sur place, un des responsables du stand nous expliquait que c’est bien évidemment une fiction, mais que les éléments se basent autant que possible sur des situations actuelles. Ce n’est donc pas une fiction sans fondement, mais plutôt une projection.

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