cryptophone
Des trafiquants de drogue incarcérés, ou assassinés, ainsi qu’un avocat condamné pour avoir blanchi l’argent d’un cartel de trafic de drogue colombien, auraient commercialisé un cryptophone utilisé par des mafieux et réseaux criminels, mais qui n’aurait pas (ou pas encore) été décrypté ni saisi par les autorités.
Après Ennetcom, Encrochat, SKY ECC, Anom, Exclu, les forces de l’ordre commenceraient à se pencher sur un autre cryptophone, No. 1 Business Communication, ou No.1 BC. Une enquête conjointe de Motherboard et des sites d’investigation italiens lavialibera et IrpiMedia révèle qu’il serait en effet utilisé par des membres de la mafia et du crime organisé.
Les autorités auraient par exemple intercepté un message envoyé en mars 2021 par Bartolo Bruzzaniti, un membre de la ‘Ndrangheta, via sa messagerie SKY ECC, urgeant son frère Antonio d’aller récupérer un « bc1 tout de suite, c’est urgent ».
D’après la procédure judiciaire, il attendait la livraison à Catane, en Sicile, d’un conteneur de bananes truffées de cocaïne en provenance de Colombie. Et les trafiquants avaient convenu, pour sécuriser la livraison, d’envoyer la moitié du numéro de série du conteneur sur SKY ECC, et l’autre sur No.1 BC.
L'IA : opportunité ou menace ? Les DSI de la finance s'interrogent Alors que l'intelligence…
Sécurité des identités : un pilier essentiel pour la conformité au règlement DORA dans le…
La transformation numérique du secteur financier n'a pas que du bon : elle augmente aussi…
Telegram envisage de quitter la France : le chiffrement de bout en bout au cœur…
L'intelligence artificielle (IA) révolutionne le paysage de la cybersécurité, mais pas toujours dans le bon…
TISAX® et ISO 27001 sont toutes deux des normes dédiées à la sécurité de l’information. Bien qu’elles aient…
This website uses cookies.