darknet
Jusqu’à sa fermeture, en avril 2022, le marché noir Hydra dominait l’écosystème russophone du dark web. Depuis, cinq plateformes cherchent à prendre sa place, n’hésitant pas à s’attaquer les unes aux autres, en mode guerre de gangs. Occasion de faire le point sur ce qui les différencie des places de marché noir occidentales.
Le démantèlement d’Hydra, la plus grosse des plateformes du « dark web », il y a tout juste un an par les autorités allemandes, « a créé un changement sismique dans l’écosystème du marché du darknet en langue russe », écrit Flashpoint.
Flashpoint, société américaine d’analyse de la menace, a enquêté sur les conséquences de cette fermeture, afin de savoir comment ses concurrents s’étaient adaptés, combattus entre eux, voire comment ils avaient innové.
Et ce, d’autant que les États-Unis ont depuis sanctionné plusieurs « crypto mixeurs » utilisés pour blanchir les fonds volés, et qui étaient tous utilisés pour anonymiser les sommes échangées sur Hydra.
À son apogée, en 2020, son chiffre d’affaires s’élevait à plus d’un milliard de dollars, faisant d’Hydra « le plus grand marché du darknet et la plus grande place de marché pour les stupéfiants en ligne dans les pays de l’ex-Union soviétique » :
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