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Le ministère japonais de la Défense vient d’annoncer sur Twitter qu’il rejoindra officiellement les activités du Centre d’excellence coopératif pour la cyberdéfense (CCDCOE) de l’OTAN.
The Register relève que le Japon avait annoncé son intention en 2018, et qu’il a déjà participé à ses exercices Lock Shields d’entraînement à la cyberguerre en 2021 et 2022.
Le Japon se rapprocherait également des États-Unis et serait prêt à apporter 2,4 milliards de dollars afin de collaborer en matière de recherche sur les semi-conducteurs de nouvelle génération. Les deux pays chercheraient à développer des procédés de fabrication à 2 nanomètres.
Les États-Unis travailleraient également sur un projet d’accord de sorte que les entreprises néerlandaises et japonaises, et plus particulièrement ASML et Canon, restreignent leurs ventes de semi-conducteurs à la Chine.
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