Acquérir un terrain virtuel pour faire briller son logo dans le « métavers » ? C’est ce que propose The Sandbox, l’une des plateformes les plus développées du nouvel Internet (« Web3 »), qui a déjà attiré plus de 300 marques au sein de son univers numérique. Axa, Gucci, HSBC, Warner Music, Adidas, Carrefour, Ubisoft… Et même le rappeur Snoop Dogg figurent parmi les 20 000 propriétaires de l’une des 166 464 parcelles disponibles dans cet univers virtuel au graphisme sommaire, cubique et enfantin, accessible sans casque à réalité virtuelle.
Cette carte a un nombre limité de terrains, « ce qui n’est pas le cas de tous les mondes virtuels décentralisés. On en a vendu 70 % à ce jour » , confie Sébastien Borget, 37 ans, co-fondateur de The Sandbox. Impulsé également par d’autres acteurs comme son concurrent Decentraland, le marché global de la vente de terrains virtuels a déjà dépassé les 500 millions de dollars en 2021. Avec une part de marché de plus de 60 % pour The Sandbox, selon son co-fondateur.
Mais posséder un terrain virtuel dans un « métavers » , ce réseau d’espaces virtuels interconnectés décrit comme l’avenir d’internet, à quoi ça sert ? « C’est assez similaire à l’immobilier dans le monde réel, plaide Sébastien Borget. C’est un espace dans lequel on va pouvoir créer des expériences que l’on va pouvoir ensuite monétiser, en vendant des contenus ou en louant cet espace à d’autres créateurs. »
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