Le gang russophone de rançongiciels Conti « a officiellement mis fin à ses activités », relève BleepingComputer, et démantelé son infrastructure, y compris ses serveurs de chat, dont un chercheur ukrainien infiltré avait fait fuiter les conversations.
La direction de Conti ne compte pas pour autant disparaître, mais se subdiviser en plusieurs « cellules » plus petites et plus ou moins autonomes, afin de compliquer les efforts des forces de l’ordre.
Les autorités américaines ont en effet indiqué, début mai, qu’elles étaient prêtes à verser jusqu’à 10 millions de dollars de récompense à qui les aideraient à identifier des membres de sa direction, et 5 millions pour ceux qui lui sont affiliés.
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