L’IA générative divise : entre cybercriminels et cybersécurité, qui sortira vainqueur de cette nouvelle ère technologique ?

ia generative
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Pour les RSSI, l’enjeu est d’avoir une longueur d’avance afin de protéger leurs organisations contre les dommages financiers et réputationnels dévastateurs pouvant émerger dans le cadre de ce nouveau paysage de menaces alimentées par l’IA.

La lettre ouverte demandant l’arrêt pendant six mois du développement des systèmes d’IA, publiée le 22 mars dernier, compte, à date, plus de 31 000 signataires. Parmi eux des CEO du secteur de la tech venant du monde entier qui s’accordent sur le fait que « [l]es systèmes d’IA dotés d’une intelligence capable de concurrencer celle de l’homme peuvent poser de graves risques pour la société et l’humanité. »

La démocratisation de l’IA générative implique l’arrivée de nouvelles menaces en matière de cybersécurité, pour certaines déjà visibles comme l’augmentation des emailings d’hameçonnage générés par l’IA, ou encore la montée en puissance de logiciels malveillants. Le constat est sans appel, à mesure que l’IA se perfectionne, les cybercriminelles améliorent considérablement leurs attaques.

Le paradoxe réside dans le fait que cette technologie peut également se révéler être un véritable atout pour les entreprises, dans leur lutte contre les cyber attaquants et à des fins de perfectionnement des systèmes de sécurité. Une chose est sûre, l’IA générative est devenue incontournable. C’est pourquoi les entreprises doivent dès à présent réfléchir aux risques qui entourent cette innovation, et à comment les limiter.

Alors, quels sont ces risques et comment les entreprises peuvent-elles se prémunir face à ces nouvelles menaces ?

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