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L’intelligence artificielle apporte des techniques de ripostes plus efficaces et plus rapides en cas de piratage. Il faut désormais qu’elle apprenne à s’autodéfendre pour contrer les attaques générées par de l’IA sur des systèmes d’IA.
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Dans le domaine de la cybersécurité, attaquants et défenseurs jouent continuellement au chat et à la souris : chaque nouvelle attaque amène une nouvelle contre-mesure, qui est à son tour dépassée par une nouvelle attaque. Depuis quelque temps, l’intelligence artificielle (IA) s’est introduite dans le débat, comme le montre le dernier rapport de l’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (Enisa), qui trace un panorama des menaces les plus pressantes et fait la part belle à celles qui sont liées à l’IA. Le dernier rapport de veille technologique publié par Europol, l’agence européenne de police, est consacré quant à lui à ChatGPT.
Pour simplifier, l’IA permet tout d’abord d’améliorer les techniques d’attaque existantes, par exemple le très répandu piratage psychologique (social engineering) dont l’objectif est de tromper ou manipuler une personne pour obtenir frauduleusement l’accès à certaines informations, comme un mot de passe, ou une action, comme un virement bancaire. Qui n’a jamais été la cible d’un hameçonnage (phishing), sous la forme d’un courrier électronique frauduleux ? L’apparition des agents conversationnels tels que ChatGPT a grandement permis d’améliorer la technique avec l’envoi de courriers mieux écrits et plus réalistes, et le rapport de l’Enisa cite une étude liant l’adoption à grande échelle de ChatGPT par le public à une augmentation de 135 % des attaques d’hameçonnage en deux mois.
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