Loi de programmation militaire
Si le projet de loi de programmation militaire pour les cinq prochaines années « apparaît très profitable aux services de renseignement français », relève Intelligence Online, « plusieurs demandes ardemment portées par la DGSE n’ont pas passé les arbitrages finaux pour être insérés dans la LPM ».
La direction technique du service de renseignement extérieur aurait en effet voulu pouvoir allonger la durée de surveillance des URL, élargir le champ d’application de sa surveillance algorithmique, aujourd’hui centrée sur le seul terrorisme, « à l’espionnage ou à la détection de cyberattaques », mais également pouvoir transmettre les données collectées de la sorte à d’autres services de renseignement.
La DGSE aurait aussi plaidé pour être dotée de « la possibilité d’acheter des lots de données de navigation internet (cookies) auprès d’opérateurs privés (afin d’améliorer la collecte de données en ligne à l’étranger) ».
Intelligence Online note que « ces demandes devraient néanmoins être traitées séparément dans des textes réglementaires futurs ».
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