« L’argument selon lequel nous mettons en avant du contenu qui rend les gens en colère, pour des profits, est complètement illogique », a défendu le patron du groupe, quelques heures après l’audition d’une ancienne employée devant une commission parlementaire.
Le cofondateur et patron du groupe Facebook, Mark Zuckerberg, a défendu son entreprise, mardi 5 octobre, face aux accusations d’une lanceuse d’alerte, Frances Haugen, qui a livré, devant une commission du Sénat des Etats-Unis, un témoignage inédit sur les pratiques du groupe californien pour augmenter inlassablement sa fréquentation, aux dépends de la sécurité et du bien-être de ses utilisateurs.
« Au cœur de ces accusations réside l’idée que nous privilégions les profits plutôt que la sécurité et le bien-être. Ce n’est tout simplement pas vrai », a affirmé Mark Zuckerberg dans une longue publication sur sa page Facebook.
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