La Chine ambitionne de créer une monnaie numérique soutenue par l’État, appelée yuan numérique ou e-CNY. Il s’agit d’une forme d’argent qui n’existe qu’en ligne et qui est gérée et garantie par la banque centrale chinoise. Les analystes expliquent que la Chine a commencé à tester le yuan numérique dans plusieurs villes depuis 2020, et qu’elle prévoit de le lancer à l’échelle nationale, ce qui pourrait lui donner une avance sur l’Europe et les États-Unis dans la course mondiale au développement d’une monnaie numérique d’État, également connue sous le nom de monnaie numérique de banque centrale (CBDC).
En se concentrant sur le cas de Changshu, une ville de l’est de la Chine, qui va commencer à payer entièrement en yuan numérique les employés du secteur public et des entreprises et institutions publiques à partir de mai. Il s’agit du plus grand déploiement du yuan numérique en Chine jusqu’à présent, selon les médias d’État. Changshu expérimentait déjà le yuan numérique depuis octobre dernier, en payant les subventions de transport de certains employés du gouvernement en yuan numérique.
Il convient de souligner que la Chine est déjà sur le point de devenir une société sans espèces, mais que la grande majorité des transactions électroniques se font sur des applications privées (Alipay et WeChat Pay), en dehors du contrôle immédiat de l’État. Un yuan officiel changerait la donne, en donnant à Pékin une quantité sans précédent d’informations sur ce que les gens dépensent et où.
Les cryptomonnaies sont des formes d’échange décentralisées qui ne sont pas contrôlées par un gouvernement ou une banque centrale. Elles utilisent la technologie du blockchain, une base de données distribuée qui rend les transactions transparentes et sécurisées. Les cryptomonnaies sont exposées à la volatilité, comme les monnaies traditionnelles, mais offrent aussi des avantages comme la rapidité, la faible commission et la protection contre l’inflation.
L’exemple du Venezuela, un pays où le bolivar (la monnaie officielle) a été dévalué à cause de l’hyperinflation en est une belle illustration. Les Vénézuéliens utilisent donc les cryptomonnaies pour acheter des biens, de la nourriture et payer leurs factures. Selon Chainalysis, une plateforme de données sur le blockchain, le Venezuela fait partie des pays qui adoptent massivement les cryptomonnaies, avec le Kenya, le Vietnam et le Nigeria.
Ces pays ont un accès limité aux devises étrangères comme le dollar ou l’euro à cause des politiques étrangères ou du manque d’investisseurs étrangers. Ils ont aussi un grand volume de transactions sur les plateformes peer-to-peer (P2P), qui facilitent le troc de cryptomonnaies entre eux.
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