mort numerique
« Chaque jour, près de 8 000 personnes inscrites sur Facebook décèdent dans le monde », relève la CNIL, qui précise que « leurs pages sont laissées à l’abandon ou transformées en pages posthumes ».
Or, et « en pratique, il est très difficile pour un responsable de site de faire la différence entre un profil inactif parce que son titulaire ne l’utilise plus et un profil inactif parce que son titulaire est décédé ».
La CNIL rappelle que l’article 85 de la loi Informatique et Libertés permet aux héritiers d’une personne décédée de demander à un responsable de fichier d’actualiser ses données.
De même, et « en l’absence de directives contraires du défunt, il est possible pour les héritiers de faire supprimer un compte ». Ce pourquoi il peut être important de partager avec eux ses directives anticipées en la matière, comme on peut le faire pour les dons d’organes ou la fin de vie.
La CNIL fournit aussi les liens des principaux formulaires Facebook, Instagram, LinkedIn ou Twitter permettant de transformer leur profil en « Mémorial » ou de le supprimer.
Comment reconnaître une attaque de phishing et s’en protéger Le phishing ou « hameçonnage »…
Qu’est-ce que la cybersécurité ? Définition, enjeux et bonnes pratiques en 2025 La cybersécurité est…
Cybersécurité : les établissements de santé renforcent leur défense grâce aux exercices de crise Face…
L'IA : opportunité ou menace ? Les DSI de la finance s'interrogent Alors que l'intelligence…
Sécurité des identités : un pilier essentiel pour la conformité au règlement DORA dans le…
La transformation numérique du secteur financier n'a pas que du bon : elle augmente aussi…
This website uses cookies.