javascript
JavaScript est maintenant utilisé de manière assez généralisée sur le web, mais c’est aussi un outil de tracking et parfois un risque de sécurité. Des chercheurs de Lille ont analysé quelle part du web est encore navigable sans utiliser ce langage.
Vous, lecteurs de Next INpact, utilisez peut-être le navigateur Lynx, qui ne prend pas en charge le code JavaScript des pages web, pour lire votre média en ligne préféré. Ou peut-être utilisez-vous l’extension NoScript sur Firefox, Chrome, Vivaldi ou Brave (ou d’autres comme uMatrix) ? Celle-ci permet notamment de désactiver le JavaScript sur votre navigateur.
JavaScript est très intéressant pour rendre une page web plus interactive, mais il permet aussi de tracer plus facilement un internaute et introduit des failles de sécurité. L’extension NoScript est d’ailleurs intégrée par défaut dans le navigateur Tor Browser pour éviter le pistage de ses utilisateurs et sécuriser leur navigation.
Mais, à bloquer JavaScript, on se coupe aussi de certaines fonctionnalités des pages web que l’on consulte jusqu’à les rendre, pour certaines, inutilisables. Des chercheurs de Lille (du CNRS et d’Inria) ont analysé ce qu’ils nomment des « ruptures » lorsque JavaScript est désactivé, pour identifier les fonctionnalités manquantes. Ils ont détaillé leurs travaux dans un article scientifique [PDF], publié dans la revue ACM Transactions on Internet Technology.
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