Fait suffisamment rare pour être souligné : il n’aura fallu que sept jours aux enquêteurs de la police judiciaire pour interpeller les pirates présumés. Pour autant, et contrairement à ce que de nombreux médias avancent, rien ne permet de savoir à ce stade combien des 43 millions de demandeurs d’emploi (actuels ou anciens) pourraient avoir été concernés par la fuite de données.
La procureure de la République du tribunal judiciaire de Paris annonce l’interpellation ce dimanche 17 mars de trois personnes dans le cadre de l’enquête sur le piratage de données personnelles de France Travail.
Le communiqué, qui ne figure pas sur le site du Parquet de Paris, nous a été retransmis par le journaliste Gabriel Thierry. Nous le diffusons en intégralité :
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