Plongée dans The Sandbox, le metavers français

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Dans le métavers, tout s’achète et se revend grâce à la blockchain. Ses promoteurs y voient le futur d’internet – le « Web3 » – et une alternative décentralisée aux Gafa.

Sur la gauche, un Schtroumpf. A droite, le rappeur Snoop Dogg qui effectue quelques pas de danse en boucle. Au fond, un énorme logo Adidas qui tourne invariablement. Çà et là, exposés sur les murs, des oeuvres d’art en NFT. Le tout prend place dans un environnement graphique enfantin au design cubique. Licences de la pop culture, cryptomonnaies et univers en 3D, voilà donc à quoi ressemble un métavers. Bienvenue dans The Sandbox.

C’est l’un des métavers les plus développés, avec son rival Decentraland. La plateforme créée par le duo de Français Arthur Madrid et Sébastien Borget offre l’une des plus prometteuses visions du futur d’internet – le Web3 – après les portails du Web 1.0 des années 1990 et les réseaux sociaux du Web 2.0.

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