Début 2021; les chercheurs du Citizen Lab ont encore trouvé une faille inédite employée par le logiciel espion Pegasus pour infecter les victimes de ses clients.
C’est la première mention de NSO Group depuis les révélations du « Projet Pegasus ». Le Citizen Lab, laboratoire de recherche de l’Université de Toronto, a révélé une nouvelle opération menée à l’aide du logiciel espion, entre juin 2020 et février 2021. Aux commandes des cyberattaques se trouve notamment « Lulu », un groupe affilié par les chercheurs au gouvernement du Bahreïn. Il a infecté — ou tenté d’infecté — les iPhone de pas moins de 4 activistes du pays, connus pour leur opposition au pouvoir. 5 autres ont également été visés par Pegasus.
Techniquement, cette opération s’est appuyée tour à tour sur deux vulnérabilités pour pénétrer le smartphone des victimes.
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