ProtonMail est pour rappel disponible sur le réseau Tor depuis 2017 déjà, une manière d’éviter la censure de certains pays. « Malheureusement, de plus en plus de gouvernements se tournent vers la censure ou la fermeture d’Internet pour contrôler leurs citoyens », explique Proton. La société a décidé d’aller de l’avant avec Tor en devenant membre Green Onion.
Proton s’engage donc à verser entre 10 000 et 49 999 dollars par an. Elle ajoute que cela lui permet de « travailler en étroite collaboration avec l’équipe du projet Tor et d’améliorer votre expérience sur les applications Web Proton via Tor ».
« Dans le cadre de cette collaboration, nous avons mis en place une mise à jour majeure du site ProtonMail et avons ajouté les sites Proton Calendar et Proton Drive sur Tor ». Des explications pour accéder à ProntonMail via Tor sont disponibles par ici.
Mots-clés : cybersécurité, sécurité informatique, protection des données, menaces cybernétiques, veille cyber, analyse de vulnérabilités, sécurité des réseaux, cyberattaques, conformité RGPD, NIS2, DORA, PCIDSS, DEVSECOPS, eSANTE, intelligence artificielle, IA en cybersécurité, apprentissage automatique, deep learning, algorithmes de sécurité, détection des anomalies, systèmes intelligents, automatisation de la sécurité, IA pour la prévention des cyberattaques.
Bots et IA biaisées : une menace silencieuse pour la cybersécurité des entreprises Introduction Les…
Cloudflare en Panne : Causes Officielles, Impacts et Risques pour les Entreprises Le 5 décembre…
Introduction La cybersécurité est aujourd’hui une priorité mondiale. Récemment, la CISA (Cybersecurity and Infrastructure Security…
La transformation numérique face aux nouvelles menaces Le cloud computing s’impose aujourd’hui comme un…
Les attaques par déni de service distribué (DDoS) continuent d'évoluer en sophistication et en ampleur,…
Face à l'adoption croissante des technologies d'IA dans les PME, une nouvelle menace cybersécuritaire émerge…
This website uses cookies.