videosurveillance
Évoquant un plan « zéro délinquance » en vue des Jeux olympiques, le ministère de l’Intérieur s’était donné « dix-huit mois pour faire ce travail de harcèlement et de nettoyage », précisant que « ce sera un héritage des JO ». Un « héritage » depuis abondé par les « violences urbaines » suite à la mort de Nahel.
Une enquête de Mediapart révèle que « sous l’impulsion du ministère de l’Intérieur, de nombreuses communes accueillant des épreuves des JO augmentent leurs moyens de vidéosurveillance ».
Interrogé en octobre 2022 par le Sénat à propos de la sécurité de Paris 2024, Gérald Darmanin avait en effet annoncé avoir demandé à chaque préfecture de préparer un plan « zéro délinquance » en vue des Jeux : « Nous avons devant nous dix-huit mois pour faire ce travail de harcèlement et de nettoyage – et ce sera un héritage des JO ».
La loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur de janvier 2023 avait de son côté prévu de tripler les crédits du fonds interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (FIPDR) consacrés à la vidéoprotection au cours des cinq années à venir, afin de « cofinancer les projets portés par les collectivités territoriales, notamment des audits des éventuelles failles de sécurité présentes dans les caméras déjà installées ».
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