drm web
Il y a une semaine, nous nous penchions sur l’API Web Environment Integrity envisagée par Google. Dans notre analyse, nous montrions qu’elle avait la capacité de verrouiller partiellement le web au profit de l’entreprise. Depuis, beaucoup ont réagi, dont Brave, Mozilla et Vivaldi, pour dire tout le mal qu’ils en pensaient.
Les objectifs affichés de cette API n’ont rien de scandaleux a priori. Il s’agit en bonne partie d’établir un lien de confiance entre une machine et un service, la première pouvant prouver au second qu’elle est bien ce qu’elle prétend être.
Ce fonctionnement est largement inspiré de certaines interfaces de programmation que l’on trouve dans les environnements mobiles, tout particulièrement Play Integrity sur Android et App Attest sur iOS. Google s’étant « fait la main » avec Play Integrity, elle propose d’appliquer les mêmes principes à la navigation web.
Les bénéfices seraient importants en théorie. Les techniques utilisées permettraient à un PC, un smartphone, une tablette ou autre de prouver qu’ils sont des appareils classiques contrôlés par un être humain. Dans le cas contraire – par exemple un bot – la connexion serait refusée et le contenu ne serait pas fourni.
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