Le fabricant a publié hier un communiqué pour confirmer que des malandrins s’étaient infiltrés dans ses infrastructures.
L’incident aurait eu lieu le 26 mars, Western Digital évoquant « une tierce partie non autorisée » ayant obtenu « certaines données de ses systèmes ». Données sur lesquelles l’entreprise n’offre aucune précision.
Elle ajoute que les actions des pirates « ont causé et continuent de causer des perturbations », sans donner – là encore – plus d’informations. On sait cependant que des services comme My Cloud et quelques autres ne fonctionnent plus depuis dimanche. On peut suivre l’évolution depuis la page de statut des services.
Western Digital indique dans son communiqué que les forces de l’ordre ont été contactées et que des mesures ont été prises pour protéger ses opérations commerciales, incluant notamment la mise hors ligne de systèmes et services.
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