Dans le cadre d’un procès de publicitaires contre Meta sur son comportement anticoncurrentiel, des emails entre Mark Zuckerberg et ses équipes montrent que l’entreprise a mis en place un système pour espionner le trafic chiffré de Snapchat et ainsi connaître le fonctionnement de l’engagement dans l’application de son rival.
En 2016, Facebook (qui ne s’était pas encore renommé Meta) est parti à la chasse aux fantômes pour connaître, par tous les moyens, quel était le fonctionnement de son nouveau rival à l’icône en forme de petit spectre sur fond jaune. À l’époque, Snapchat est l’application qui monte et qui menace l’hégémonie de l’entreprise de Mark Zuckerberg sur le marché publicitaire sur les réseaux sociaux.
Facebook veut savoir comment Snapchat attire des annonceurs de façon agressive en prévision de son entrée en bourse. Mais problème : tout le trafic de Snapchat est chiffré et Facebook ne peut pas analyser le fonctionnement de l’application de son concurrent.
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