Plusieurs journalistes marocains ont été surveillés via le logiciel espion Pegasus de la firme israélienne NSO. Le Maroc déploie des moyens colossaux pour bâillonner les dernières voix libres et, plus largement, toute la société civile.
Le journalisme est un métier très risqué au Maroc. L’enquête, coordonnée par Forbidden Stories, avec l’appui du Security Lab de l’ONG Amnesty International, le démontre une nouvelle fois. De nombreux journalistes indépendants figurent sur la liste des victimes traquées par les services secrets marocains via le logiciel espion Pegasus de la firme israélienne NSO.