Clarkson, un cabinet d’avocat californien, intente une action en justice contre OpenAI pour le tenir responsable de l’usage que l’entreprise a fait de milliers de données supposées personnelles pour entraîner les grands modèles de langage qui ont permis la création de ChatGPT.
La plainte vise à tester un nouvel angle juridique, explique le Washington Post : celui selon lequel OpenAI aurait violé les droits de millions d’internautes en utilisant leurs commentaires, leurs articles de blogs ou encore des articles Wikipédia sans leur demander leur consentement, pour entraîner ses modèles.
Le cabinet compte déjà une série de plaignants, mais en cherche activement de nouveaux.
La plainte a été déposée dans l’état de Californie, qui jouit d’un texte de protection des données personnelles similaire au RGPD, le California Consumer Privacy Act (ce qui est loin d’être le cas de tous les États américains, et n’existe pas non plus au niveau fédéral).
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