La fuite massive avait été annoncée en octobre dernier, mais n’était pour le moment qu’une hypothèse. Ce mardi, la société de généalogie génétique 23andMe a finalement confirmé mardi que des pirates informatiques utilisant des mots de passe « recyclés » et volés avaient accédé aux données personnelles de 6,9 millions de ses membres.
Bien que les hackers n’aient pu accéder qu’à environ 14.000 comptes, soit 0,1 % des
comptes du site, ils ont pu voir des informations partagées avec 23andMe par d’autres personnes, des parents ayant des liens génétiques avec des utilisateurs, a déclaré un porte-parole en réponse à une demande de l’AFP.