Le directeur de la formation et de la recherche de Sciences Po Paris a annoncé aux enseignants de l’école, dans une lettre d’information, qu’il interdisait l’utilisation par les étudiants de ChatGPT « à l’exception d’un usage pédagogique encadré par une enseignante ou un enseignant », rapporte BFM, « sous peine de sanctions qui peuvent aller jusqu’à l’exclusion de l’établissement voire de l’enseignement supérieur ».
Il s’appuie sur le règlement de scolarité et la charte anti-plagiat de l’établissement pour justifier cette décision. Le directeur renvoie les enseignants vers une future note de l’Institut des Compétences et de l’Innovation de l’établissement sur le sujet pour une réflexion plus approfondie sur les enjeux liés aux outils de « génération de langage » qui vont « inévitablement et rapidement faire évoluer les pratiques pédagogiques et les évaluations des enseignements », selon lui.
- ChatGPT chamboule les examens
- ChatGPT ravive les débats autour des compétences de l’intelligence artificielle
- Quels pourraient être les effets de ChatGPT sur l’information ?
- À la fac de Lyon, la moitié des copies en handicapologie avaient été rédigées par ChatGPT
Mots-clés : cybersécurité, sécurité informatique, protection des données, menaces cybernétiques, veille cyber, analyse de vulnérabilités, sécurité des réseaux, cyberattaques, conformité RGPD, NIS2, DORA, PCIDSS, DEVSECOPS, eSANTE, intelligence artificielle, IA en cybersécurité, apprentissage automatique, deep learning, algorithmes de sécurité, détection des anomalies, systèmes intelligents, automatisation de la sécurité, IA pour la prévention des cyberattaques.






